Charlotte L’Harmeroult sélectionne au préalable des feuilles mortes déposées au sol du jardin pamplemousse. Elle les installe sur une table familiale mauricienne en guise d’offrande. Le festin de l’invisible est prêt à être embrassé.
L’artiste entre en performance. Les baisers sont rendus visibles par la matière à lèvre. Elle fait le tour, s’assoit sur toutes les chaises, monte sur la table pour embrasser et embrasser encore. Elle rassemble les feuilles et part sur la plage.