Sur une proposition de Anne, les blouses sont mises en situation. Portées par des salariés habituellement habillés en civil, ces uniformes n’assignent pas à un métier mais font état d’une relation fictive et affective.
Que signifie porter un habit ? Comment se comporter avec lui ? Est-ce qu’il protège, présente, explique ou dénude ? Comment interfère t-il dans la relation à l’autre ? Les deux plasticiennes mettent en jeu une revalorisation des codes et des représentations dans la vie quotidienne d’un lieu public et de culture.